2 août 2009
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07:00
A l'hôtel, la prise électrique défectueuse a été réparée, comme quoi il suffit de demander ! J'ai croisé la veille Patrice qui finissait son service à 20h. Il était fatigué de sa première journée de reprise après les vacances et sa crise de paludisme. Nous nous sommes donnés rendez-vous pour l'après-midi.
En ce dimanche, je reçois un appel matinal de Junior. Il me dit qu'il est en brousse et ne pourra sans doute pas être là pour 11h30, mais plutôt vers 14h. Je lui indique qu'il faut qu'il soit impérativement au rendez-vous en début d'après-midi, car ensuite ce sera trop tard.
Après le petit-déjeuner, je sors voir Basile qui m'attend impatiemment devant l'hôtel. Je lui règle directement les 10 000 FCFA dus par Arsène (intermédiaire pour la vente de colliers). Il essaie de m'embrouiller en prétendant ne pas avoir eu le reste de la somme... Je ne donne pas suite et pars faire un tour sur la plage.
Le ciel est encore assez gris et la plage de la Côte Sauvage peu fréquentée. Je croise quelques sportifs, notamment des karatékas. Un adulte entraîne de jeunes enfants à faire des mouvements. Ils sont rigolos dans leurs kimonos blancs, au milieu des embruns.
Un peu plus loin, je trouve une huître de belle taille. C'est un huître "pied de cheval", à peu près le double de taille des spécimens vendus en France (difficile de se rendre compte, ma photo ne donne pas d'échelle !).
Je marche jusqu'au Wharf et je constate qu'un tronçon de la partie terrestre a été détruit. Le béton noircit laisserait supposer qu'on l'a fait sauter !!
C'est sans doute pour libérer le terrain et poursuivre les constructions de maisons, parallèlement à la côte. Quelques ouvriers sont présents, peut-être pour surveiller qu'on ne vole pas les matériaux entreposés à proximité (sacs de sable et parpaings).
On est bien loin du temps de la splendeur du Wharf (construit en 1967), il défiait alors fièrement l'océan. L'une des deux grues a sombré récemment dans les flots...
En ce dimanche, je reçois un appel matinal de Junior. Il me dit qu'il est en brousse et ne pourra sans doute pas être là pour 11h30, mais plutôt vers 14h. Je lui indique qu'il faut qu'il soit impérativement au rendez-vous en début d'après-midi, car ensuite ce sera trop tard.
Après le petit-déjeuner, je sors voir Basile qui m'attend impatiemment devant l'hôtel. Je lui règle directement les 10 000 FCFA dus par Arsène (intermédiaire pour la vente de colliers). Il essaie de m'embrouiller en prétendant ne pas avoir eu le reste de la somme... Je ne donne pas suite et pars faire un tour sur la plage.
Le ciel est encore assez gris et la plage de la Côte Sauvage peu fréquentée. Je croise quelques sportifs, notamment des karatékas. Un adulte entraîne de jeunes enfants à faire des mouvements. Ils sont rigolos dans leurs kimonos blancs, au milieu des embruns.
Un peu plus loin, je trouve une huître de belle taille. C'est un huître "pied de cheval", à peu près le double de taille des spécimens vendus en France (difficile de se rendre compte, ma photo ne donne pas d'échelle !).
Je marche jusqu'au Wharf et je constate qu'un tronçon de la partie terrestre a été détruit. Le béton noircit laisserait supposer qu'on l'a fait sauter !!
C'est sans doute pour libérer le terrain et poursuivre les constructions de maisons, parallèlement à la côte. Quelques ouvriers sont présents, peut-être pour surveiller qu'on ne vole pas les matériaux entreposés à proximité (sacs de sable et parpaings).
On est bien loin du temps de la splendeur du Wharf (construit en 1967), il défiait alors fièrement l'océan. L'une des deux grues a sombré récemment dans les flots...