6 décembre 2009
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10:00
Quand j'ouvre les rideaux, je découvre sous mes fenêtres, une pelouse jonchée de détritus. Le mariage est passé par là ! Les employés commencent à démonter les tentes.
Le petit-déjeuner est plus animé que d'ordinaire. Tout d'abord, un client congolais se plaint que la date de péremption n'apparaît pas sur les yaourts. C'est vrai qu'elle est illisible. Le pauvre serveur Red ne sait que répondre. Il était de service au mariage hier soir et est encore sur le pont ce matin. Dur week-end pour lui...
Un homme à la stature imposante (un mètre quatre-vingt dix et un bon quintal) réclame... du cassoulet ! C'est foutu, aujourd'hui il n'y en a pas.
Dans l'hôtel, des ouvriers travaillent encore en ce dimanche matin à la réparation du toit de l'accueil et d'autres repeignent les murs de clôture, près du terrain de tennis (en cours d'élaboration...).
Il fait un beau soleil. Je décide donc de faire un tour à pied. Après la morne journée d'hier, aérons nous ! Pendant que je photographie quelques arbres, le vendeur ambulant José m'aperçoit et bien sûr veut me vendre quelque chose.

Il me sort d'un petit sachet une pépite d'or et également quelques paillettes. Il me dit que cela vient du Mayombe. Ne voulant pas d'ennui pour traverser les frontières avec ce genre de marchandise, je décline l'offre. Dans un tout autre genre, José me propose un bracelet en poils d'éléphant. Je trouve ça moche, on dirait du plastique. Il parait que Sarkozy en portait un (des photos traînent sur le net...), avant qu'un magistrat ne l'informe en 2007 que c'était illégal ! L'éléphant est une espèce protégée et on voit mal comment fabriquer des bracelets avec les poils de sa queue, sans tuer l'animal. Des bijoutiers des quartiers chics de l'ouest parisien ont été condamnés en 2009 pour ce commerce illicite. Achat à éviter donc ! José me casse un peu les pieds, mais je n'achète rien.
Je traverse la voie ferrée et je constate avec surprise que l'on peint la façade de la DIRATT (cf Pointe-Noire : bâtiment colonial (1) ) en rose ! Ce doit être à la mode à Pointe-Noire. Le nouveau bâtiment de l'hôtel ( Début de week-end ensoleillé ) et la clôture du Palm Beach sont dans les mêmes tons. Mais pour un bâtiment officiel, parmi les plus anciens de la ville, c'est un peu étrange.
Je file vers le CMS où j'arrive enfin à photographier le beau Lagerstroemia à l'angle de l'avenue Poincaré. Les jours précédents soit la météo, soit le soleil à contre-jour m'en ont empêché.
Il est couvert de fleurs et présente la particularité d'avoir un tronc bifide.

Par quelle facétie de la nature, ce tronc s'est-il séparé en deux ? Mystère !

Le petit-déjeuner est plus animé que d'ordinaire. Tout d'abord, un client congolais se plaint que la date de péremption n'apparaît pas sur les yaourts. C'est vrai qu'elle est illisible. Le pauvre serveur Red ne sait que répondre. Il était de service au mariage hier soir et est encore sur le pont ce matin. Dur week-end pour lui...
Un homme à la stature imposante (un mètre quatre-vingt dix et un bon quintal) réclame... du cassoulet ! C'est foutu, aujourd'hui il n'y en a pas.
Dans l'hôtel, des ouvriers travaillent encore en ce dimanche matin à la réparation du toit de l'accueil et d'autres repeignent les murs de clôture, près du terrain de tennis (en cours d'élaboration...).
Il fait un beau soleil. Je décide donc de faire un tour à pied. Après la morne journée d'hier, aérons nous ! Pendant que je photographie quelques arbres, le vendeur ambulant José m'aperçoit et bien sûr veut me vendre quelque chose.
Flamboyant près des voies ferrées
Il me sort d'un petit sachet une pépite d'or et également quelques paillettes. Il me dit que cela vient du Mayombe. Ne voulant pas d'ennui pour traverser les frontières avec ce genre de marchandise, je décline l'offre. Dans un tout autre genre, José me propose un bracelet en poils d'éléphant. Je trouve ça moche, on dirait du plastique. Il parait que Sarkozy en portait un (des photos traînent sur le net...), avant qu'un magistrat ne l'informe en 2007 que c'était illégal ! L'éléphant est une espèce protégée et on voit mal comment fabriquer des bracelets avec les poils de sa queue, sans tuer l'animal. Des bijoutiers des quartiers chics de l'ouest parisien ont été condamnés en 2009 pour ce commerce illicite. Achat à éviter donc ! José me casse un peu les pieds, mais je n'achète rien.
Je traverse la voie ferrée et je constate avec surprise que l'on peint la façade de la DIRATT (cf Pointe-Noire : bâtiment colonial (1) ) en rose ! Ce doit être à la mode à Pointe-Noire. Le nouveau bâtiment de l'hôtel ( Début de week-end ensoleillé ) et la clôture du Palm Beach sont dans les mêmes tons. Mais pour un bâtiment officiel, parmi les plus anciens de la ville, c'est un peu étrange.
Je file vers le CMS où j'arrive enfin à photographier le beau Lagerstroemia à l'angle de l'avenue Poincaré. Les jours précédents soit la météo, soit le soleil à contre-jour m'en ont empêché.
Il est couvert de fleurs et présente la particularité d'avoir un tronc bifide.
Par quelle facétie de la nature, ce tronc s'est-il séparé en deux ? Mystère !